Dans
la vie, tout est relatif...
J’aimerais dire à tous les parents qui
pleurnichent car leurs « pôvres » enfants s’ennuient à
cause du confinement, à tous les médias qui nous montrent des
reportages où le petit « Gérard », ou la petite
« Camille » ne savent plus quoi faire, sinon être sur
leur ordinateur, aller sur les réseaux sociaux, parler de jardin à
jardin a l’autre petit confiné, qui « whatsappent » du
matin au soir, enfin, leur dire que l’ennui, parfois est nécessaire à développer l’imagination.
Voir
« Éloge de l’ennui » du professeur de littérature
classique Peter Toohey.
Mais, surtout, je souhaiterais évoquer à
tous, à toutes, que, hélas dans l’histoire et même actuellement
des enfants ont connu, et connaissent, des confinements bien plus
tragiques et bien plus contraignants.
***
Juste pour vous mettre en mémoire ces quelques photos qui relativisent la situation actuelle.
Ce 6
avril 2019, dans l'Ain, on commémore, à la maison d'Izieu, les 75
ans de la rafle des 44 enfants juifs, âgés de 4 à 17 ans, et de
leurs 7 éducateurs, sur ordre de Klaus Barbie, le chef de la Gestapo
de Lyon. Déportés à Auschwitz, ils ont été gazés à leur
arrivée.
Les
enfants à Auschwitz
Les
enfants des bidonvilles du Bangladesh qui travaillent, souvent dans
les usines textiles où des marques internationales produisent leurs
vêtements, font en moyenne des semaines de 64 heures.
En
Inde, près de 5 millions d'enfants de moins de 14 ans travaillent
Des
enfants indiens travaillent dans une petite usine de moulage de
plastique à Howrah, dans l’État du Bengale-Occidental, dans le
nord-est de l'Inde.
Au XIXème siècle,
les enfants travaillaient et n'avaient pas de vacances. Ils
n'allaient pas à l'école. Lorsqu'ils vivaient à la campagne (comme
plus de 80% de la population française), ils aidaient leurs parents
dans les champs. S'ils vivaient près de la mer, ils étaient
employés sur un bateau . Ils devenaient mousses (de 8 à 12 ans),
puis nov
ces (après 12 ans). . Lorsqu'ils étaient en apprentissage chez un artisan, ils se levaient très tôt (vers 23 heures). Ils dormaient chez leur patron. Quand ils travaillent dans les usines, ils faisaient fonctionner les machines dans des usines de textile, des fonderies, des verreries ou des fabriques de planches. Ils travaillaient de 16 à 17 heures par jour
ces (après 12 ans). . Lorsqu'ils étaient en apprentissage chez un artisan, ils se levaient très tôt (vers 23 heures). Ils dormaient chez leur patron. Quand ils travaillent dans les usines, ils faisaient fonctionner les machines dans des usines de textile, des fonderies, des verreries ou des fabriques de planches. Ils travaillaient de 16 à 17 heures par jour
Dans les verreries,
les enfants soufflaient pour faire des bouteilles.
Ils étaient moins payés que les adultes et n'avaient qu'un morceau de pain par jour.
Dans un autre registre
Ils ne sont ressortis que 18 jours après.
***
Et.... je pourrai
multiplier tellement d’autres cas !
Oui... dans
la vie, tout est relatif
hé bé! tu n'y vas pas de main morte! Mais tu as raison. Dans la vie rien n'est acquis et tout peut s'arrêter du jour au lendemain. Ce que ces enfants vivent ou ont vécu ne devraient jamais exister. Je n'ai jamais compris ce qu'un adulte peut avoir comme cheminement de pensée pour en arriver à un tel résultat avec des enfants. Avec personne d'ailleurs. Bien souvent je ne comprends pas ce monde.
RépondreSupprimerHeureuse de voir que tu as toujours bon pied bon oeil.
Je t'emnbrasse.
Myrtille
Hé... quel plaisir de te voir ici ma chère Myrtille... je commençais à désespérer de ne voir personne... hou... bises et à plus... Mitch'
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